On ne le dit pas assez : il faut ouvrir les petits livres d’allure austère. Ce principe de vie (oui, c’en est un) m’a entraînée ces dernières années vers les rivages fous d’un traité d’orthoépie, vers les mémoires débridées d’un correcteur d’édition acide et, plus récemment, vers l’extravagant La mise en ordre de la langue […]