Nièce M. : cinéfille et durassienne précoce
« Il est très beau, l’autre. Il a des yeux sombres, des cheveux noirs, une perruque blonde, il est très noble. Avant même qu’ils se soient fait quoi que ce soit on sait que ça y est, c’est lui. C’est ça qui est formidable, on le sait avant elle, on a envie de la prévenir. »
(Marguerite Duras, récit d’une séance de cinéma dans Un barrage contre le Pacifique.)
« Alors lui, là, on peut déjà dire que ça va être le prince charmant. »
(Nièce M., quatre ans, à la première apparition à l’écran du chien qui donne la moitié de son titre à La Belle et le Clochard.)