Q ?
La traductrice angliciste en vacances… se pose des questions d’angliciste en toute occasion, cela va de soi.
Rappelons que la traductrice (euh, moi, donc), a des neveux (S. et L.) et des nièces (M. et A.). Et que tous ces charmants bambins, dont l’aîné n’a après tout que 4 ans et des brouettes, lui font des prétextes supplémentaires pour dévaliser les boutiques diverses et variées qui bordent les rues de ses prestigieux lieux de villégiature.
Alors quand elle tombe sur un zouli puzzle animalier, coloré, qui plus est avec des lettres, son sang ne fait qu’un tour et elle se dit in petto : voilà un objet utile, intelligent, ludique et pédagogique.
Si si.
Et tant pis si c’est un puzzle Arche de Noé repéré par hasard dans la vitrine d’un magasin de bondieuseries, c’est quand même un zouli puzzle.
Bon, un examen plus poussé du zouli puzzle lui (me, hein) permet de constater que le « B » correspond à un ours et le « H », à une poule. Donc a priori, on a affaire à du zouli puzzle anglophone et c’est en partie foutu pour le côté pédagogique, du moins dans l’immédiat.
D’ailleurs, la suite de l’alphabet semble confirmer cette (audacieuse) hypothèse :
« M » comme « monkey »…
« N » comme…qui a l’air de porter une cagoule du Ku Klux Klan ? Ah oui, « N » comme « Noah », bien sûr…
« O » comme « ostrich », on va dire…
« P » comme « pig »… (ou comme « Picasso », vu le côté cubiste du porcin en question)
« R » comme « rhinoceros », sans doute…
« S » comme « snake »…
« T » comme « turtle »…
Mais… mais… mais… Hééééé !
« Q » comme… quoi ?
« Quail » ? Non, je regrette, jamais vu une caille avec cette tête-là (à vrai dire, je n’ai même jamais vu une caille autrement que sous forme d’oeufs à l’apéro ou de plat de volaille dans mon assiette, mais en chair et en plumes, visiblement, ça ne ressemble pas à ça).
« Quack-quack » ?
« Qoc » ?
Perplexe je suis. À ce stade de mon intense réflexion, toute aide de ta part est bienvenue, lecteur anglophone plus éveillé que moi de ce blog.